Il faut une discrimination positive en faveur des grands groupes africains

Jeune Afrique : Que va changer concrètement la transformation du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique en agence de développement  de l’UA (AUDA) ?

Ibrahim Assane Mayaki : Désormais, l’agence a une autonomie d’exécution et une liberté de mobilisation de ressources, par exemple avec des services de conseil aux États et aux organisations régionales. Ainsi, la Commission de l’Union africaine est délestée de certaines tâches d’exécution de politique de développement et pourra se concentrer sur l’orientation politique, la gouvernance, la paix, la sécurité…

 

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